Ca me bouffe, ça me dévore, ça me fait peur,
ça me ronge...
ça me ronge...
Ca beau faire trois ans, je ne m'habitue pas à ces souvenirs macabres... Je viens de là, mon caractère s'est formé à cause ou peut-être grâce à ça... Et la nuit mon démon vient me hanter, je n'ai pas un comportement banal dans toutes les situations... Il me suffit d'un mot ou d'une phrase pour m'éffondrer, pour avoir les images qui défilent en boucle dans ma tête, j'ai ces images affreuses qui me rappellent tout... Je revois sans cesse ces scènes absurdes, obsènes... Je voudrais oublier, et crier à la gueule de gens que ma bonne humeur n'est qu'une apparence partiel de mon état réel... J'ai envie de leur dire que leur petits problèmes me passent à trois milles au dessus, j'ai envie qu'ils se taisent et me regarde un peu... Qu'ils voient ma peur, et ma soif de vengeance... Je suis pas cette fille forte, je suis pas cette fille qui sourit tout le temps...J'ai peur, constament, peur que ça recommence, peur d'avoir confiance en eux, en elles et qu'ils me détruisent comme il a si bien sut faire... Je me fout des problèmes des autres, je les écoute parce que j'ai toujours été comme ça, compréhensive, mais j'ai pas de réponses, et j'ai assez avec les miens... C'est un combat de tous les jours qui ne se finis pas, un combat qui ne prendra fin qu'a ma mort... Et cette putain de mort, combien de fois y ai-je penser? Elle me tend les bras, douce et délicieuse... Pourquoi ne succomberais-je pas pour une fois?
J'aime pas voir leur visage déformé par un sourire que je trouve ideux, j'aime pas les entendre rire, le son de cette joie me donne envie de leur faire mal comme j'ai mal... Ce jour là, à eveillé en moi tout le sadisme dont je suis capable, depuis il ne m'a plus jamais quitté... Je veux pas qu'ils aient mal physiquement, ce serait trop simple, mais mentalement, c'est plus dure, plus subtile... Faut savoir toucher là ou ça fait mal.. Et puis ceux qui ont essayer de me rassurer, essayer de me comprendre, mais ils savent quoi? Que savent-ils du mal que ça fait, de tout ce que ça détruit en quelques minutes? L'honneur, la fierté, ça détruit tout, ça ravage... Après il ne reste plus rien, plus que ces souvenirs que je voudrais cauchemars.. Je voudrais me reveiller et me dire que rien de tout cela ne s'est passé, je voudrais oublier, ne serait-ce qu'un instant ce jour où il faisait beau, étions nous en juin ou bien en mai? Je sais juste que c'était un mercredi, que je devais aller à l'équitation, mais que je n'y suis pas aller... J'ai passé un an a vouloir oublier, un an à m'efforcer de sourire, mais chaque nuit je me souvenais... Et aujourd'hui encore je me souviens... J'ai passé un an à vouloir effacer ces images gloques de ma mémoire, puis voyant que ça ne marchait pas j'ai rennoncé, rennoncé à un bonheur que je ne connaîtrais jamais... Et ce jour, où j'ai connu le mot qui désignait ce qu'on m'avait fait, je m'en suis voulu... Aujourd'hui encore je trouve des excuses, je culpabilise, et de toute façon c'est de ma faute, mon comportement à dut inciter à certaines choses...
Et ce soir comme d'autres nuits, je me souviens de tout, parfaitement, tout est clair, comme si je le vivais encore, encore et encore, comme si ce soir ça recommençait... Et ça me fait mal, ça me brûle interieurement, ça me bouffe putain... Je veux plus, je peux plus me battre contre des souvenirs encore si présents... Je fais croire, je fais semblant... Oui biensur c'est du passé, mais pour combien de temps? Une journée, une semaine au mieux... Et puis d'un coup sans prévenir tout revient, je m'en prend plein la gueule, je revois tout, je ne pleure plus maintenant, j'enrage, j'ai envie de vomir, de vomir ce que je suis...
Vous pouvez tous vous pleindre, de toute façon je m'en fou... J'ai envie d'êre égoïste, j'ai envie de vous faire mal, vous que j'aime et qui ne voyez rien... Je veux que vous compreniez vraiment le calvaire que c'est chaque jour, je veux que vous sachiez ce que vos mots me rappellent...
J'aime pas voir leur visage déformé par un sourire que je trouve ideux, j'aime pas les entendre rire, le son de cette joie me donne envie de leur faire mal comme j'ai mal... Ce jour là, à eveillé en moi tout le sadisme dont je suis capable, depuis il ne m'a plus jamais quitté... Je veux pas qu'ils aient mal physiquement, ce serait trop simple, mais mentalement, c'est plus dure, plus subtile... Faut savoir toucher là ou ça fait mal.. Et puis ceux qui ont essayer de me rassurer, essayer de me comprendre, mais ils savent quoi? Que savent-ils du mal que ça fait, de tout ce que ça détruit en quelques minutes? L'honneur, la fierté, ça détruit tout, ça ravage... Après il ne reste plus rien, plus que ces souvenirs que je voudrais cauchemars.. Je voudrais me reveiller et me dire que rien de tout cela ne s'est passé, je voudrais oublier, ne serait-ce qu'un instant ce jour où il faisait beau, étions nous en juin ou bien en mai? Je sais juste que c'était un mercredi, que je devais aller à l'équitation, mais que je n'y suis pas aller... J'ai passé un an a vouloir oublier, un an à m'efforcer de sourire, mais chaque nuit je me souvenais... Et aujourd'hui encore je me souviens... J'ai passé un an à vouloir effacer ces images gloques de ma mémoire, puis voyant que ça ne marchait pas j'ai rennoncé, rennoncé à un bonheur que je ne connaîtrais jamais... Et ce jour, où j'ai connu le mot qui désignait ce qu'on m'avait fait, je m'en suis voulu... Aujourd'hui encore je trouve des excuses, je culpabilise, et de toute façon c'est de ma faute, mon comportement à dut inciter à certaines choses...
Et ce soir comme d'autres nuits, je me souviens de tout, parfaitement, tout est clair, comme si je le vivais encore, encore et encore, comme si ce soir ça recommençait... Et ça me fait mal, ça me brûle interieurement, ça me bouffe putain... Je veux plus, je peux plus me battre contre des souvenirs encore si présents... Je fais croire, je fais semblant... Oui biensur c'est du passé, mais pour combien de temps? Une journée, une semaine au mieux... Et puis d'un coup sans prévenir tout revient, je m'en prend plein la gueule, je revois tout, je ne pleure plus maintenant, j'enrage, j'ai envie de vomir, de vomir ce que je suis...
Vous pouvez tous vous pleindre, de toute façon je m'en fou... J'ai envie d'êre égoïste, j'ai envie de vous faire mal, vous que j'aime et qui ne voyez rien... Je veux que vous compreniez vraiment le calvaire que c'est chaque jour, je veux que vous sachiez ce que vos mots me rappellent...
Je t'aime infiniment, un infini, infiniment grand. Si grand ..
Je vois que tu es triste et que tu aimerais tout casser et dire au monde d'aller se faire foutre. Je comprends tellement bien ça par contre..
Les gens sont aveugles et ne veulent rien voir à par eux. Nous on doit les écouter, les réconforter, leur dire qu'ils sont les plus beaux les plus forts et qu'ils arriveront. Mais nous, dans tout ça on est quoi ? Nous aussi on a mal. Tellement mal qu'on a pas vraiment de mots à mettre dessus. Du moins moi j'en ai pas.
Encore une fois, je voudrais t'aider mais je sais éperdument que je ne peux rien faire à part te prêter mon épaule pour pleurer ou taper dessus. Je t'aime Chaguy.
Je serais tenter de te dire, Bats toi, oubli ce connard de merde qui t'a et te fait si mal et qui te provoque un mal qui te tue de jour en jour... Bats toi.. facile à dire, plus dur à faire. Alors je me tais et te regarde toi et cette chose qui te détruit.
Je t'aime alors ne cède sous aucun prétexte à se poids qui t'écrase sous les souvenirs douloureux et amers, vit. Nique les tous, eux et leurs grands airs de merde. Fuck les gens et leurs problèmes, qu'ils soient grands ou petits. ♥