pathetie.synthetique

Dimanche 28 mars 2010 à 22:34

Un certain ras-le-bol qui se manifeste par toutes sortes de choses divers...


Vous me faites bien rire tous autant que vous êtes, à rentrer dans ce moule hideux. Vous me faites rire à tous vous ressembler, à vous voir on dirait un océan de clône... Petite pouff cachée derrière une couche de fond de teint, petit salop caché sous sa veste lacoste. Et vous prétendez avoir des gros problèmes... Vous prétendez être malheureux, mais comment peut-on être heureux à se laisser conditionner par la mode et les médias. Et vous voudriez qu'on vous porte un peu d'attention... Vous êtes bien minables, savez-vous qu'aux quatre coins du monde des filles se font violer, que des hommes meurent au combat, savez-vous qu'on meurt de famine dans ce monde, savez-vous qu'on meurt de pendémie? et vous me faites rire à vouloir que je vous prête mes épaule pour pleurer votre triste sort... Vous ne savez rien du monde, vous ne savez rien de la souffrance réelle. Tu te caches sous une tonne de maquillage pour, sois disant, t'embellir, mais sais-tu que tout ce que tu arrives à faire c'est devenir superficielle et moche, te fondre dans la masse...
Ou sont passés ceux qui affirmaient leur idées, ceux qui ne se laissaient pas démolir par un simple regard réprobateur... Ou sont passés ceux qui se battaient pour un monde meilleur sans pour autant conditionner les gens...
Tu veux ressembler à Angélina Jolie, Britney Spears ou même Jennifer Lopez, mais à te maquiller, à dévoiler ton maigre corps tu ne fais qu'être aussi minable qu'elles... Et vous ne vous rendez même plus compte que tout est maîtrisé. La musique n'est plus de la musique, ce qu'on vous vend c'est une image, vous n'aimez pas la musique que vous écoutez, mais le corps déléctable du sois disant, artiste qui pose presque nue dessus. La nudité est devenue tellement banale, on se montre pour trois fois rien...
Un monde qui n'en peut plus de la banalité... Je voudrais pouvoir hurler mon avis et vous envoyer au diable tous autant que vous êtes! Petits êtres bien naïfs, vous crèverez tous un jour et j'en serais heureuse... Je supporte plus d'entendre toujours la même chose de quinze mille bouches différentes, je supporte plus d'entendre la même "musique" sur quinze radios différentes...
Vous pouvez bien vous moquer de moi, dire que je suis une "ado rebelle sans avenir" mais je m'en fous, rien de ce que vous pourrez dire ou penser ne m'atteindra, alors allez y balancez, je rigolerais bien de votre connerie! La seule différence entre vous et moi, c'est que mes opinions je les garde coûte que coûte et que vous, vous vous laissez abattre par le premier venu! La seule différence, c'est que je ne me cache pas sous un pot de peinture, je ne laisse pas la moitiée de mon corps à la vue d'autruie, non j'ai un peu plus d'honneur et de respect pour moi même... La différence c'est que les regards ne m'atteignent plus, et que je ris de vous voir sois disant malheureux! Vous ne connaissez rien du malheur, tu ne saurais même pas capable d'imaginer ce que c'est alors ferme ta gueule un peu!

Et je ris devant ce monde égoïste où chacun ne pense qu'à lui, je ris en voyant vos visage si rougis par les larmes alors que vous n'êtes pas malheureux, juste un peu triste, je ris de vous voir vous faire manipuler par un gouvernement merdique... Je ris parce que je vous hais tous! Aucune exeption, je vous hais, je vous déteste...

Dimanche 28 mars 2010 à 1:36

Ca me bouffe, ça me dévore, ça me fait peur,
 ça me ronge...


Ca beau faire trois ans, je ne m'habitue pas à ces souvenirs macabres... Je viens de là, mon caractère s'est formé à cause ou peut-être grâce à ça... Et la nuit mon démon vient me hanter, je n'ai pas un comportement banal dans toutes les situations... Il me suffit d'un mot ou d'une phrase pour m'éffondrer, pour avoir les images qui défilent en boucle dans ma tête, j'ai ces images affreuses qui me rappellent tout... Je revois sans cesse ces scènes absurdes, obsènes... Je voudrais oublier, et crier à la gueule de gens que ma bonne humeur n'est qu'une apparence partiel de mon état réel... J'ai envie de leur dire que leur petits problèmes me passent à trois milles au dessus, j'ai envie qu'ils se taisent et me regarde un peu... Qu'ils voient ma peur, et ma soif de vengeance... Je suis pas cette fille forte, je suis pas cette fille qui sourit tout le temps...J'ai peur, constament, peur que ça recommence, peur d'avoir confiance en eux, en elles et qu'ils me détruisent comme il a si bien sut faire... Je me fout des problèmes des autres, je les écoute parce que j'ai toujours été comme ça, compréhensive, mais j'ai pas de réponses, et j'ai assez avec les miens... C'est un combat de tous les jours qui ne se finis pas, un combat qui ne prendra fin qu'a ma mort... Et cette putain de mort, combien de fois y ai-je penser? Elle me tend les bras, douce et délicieuse... Pourquoi ne succomberais-je pas pour une fois?
J'aime pas voir leur visage déformé par un sourire que je trouve ideux, j'aime pas les entendre rire, le son de cette joie me donne envie de leur faire mal comme j'ai mal... Ce jour là, à eveillé en moi tout le sadisme dont je suis capable, depuis il ne m'a plus jamais quitté... Je veux pas qu'ils aient mal physiquement, ce serait trop simple, mais mentalement, c'est plus dure, plus subtile... Faut savoir toucher là ou ça fait mal.. Et puis ceux qui ont essayer de me rassurer, essayer de me comprendre, mais ils savent quoi? Que savent-ils du mal que ça fait, de tout ce que ça détruit en quelques minutes? L'honneur, la fierté, ça détruit tout, ça ravage... Après il ne reste plus rien, plus que ces souvenirs que je voudrais cauchemars.. Je voudrais me reveiller et me dire que rien de tout cela ne s'est passé, je voudrais oublier, ne serait-ce qu'un instant ce jour où il faisait beau, étions nous en juin ou bien en mai? Je sais juste que c'était un mercredi, que je devais aller à l'équitation, mais que je n'y suis pas aller... J'ai passé un an a vouloir oublier, un an à m'efforcer de sourire, mais chaque nuit je me souvenais... Et aujourd'hui encore je me souviens... J'ai passé un an à vouloir effacer ces images gloques de ma mémoire, puis voyant que ça ne marchait pas j'ai rennoncé, rennoncé à un bonheur que je ne connaîtrais jamais... Et ce jour, où j'ai connu le mot qui désignait ce qu'on m'avait fait, je m'en suis voulu... Aujourd'hui encore je trouve des excuses, je culpabilise, et de toute façon c'est de ma faute, mon comportement à dut inciter à certaines choses...
Et ce soir comme d'autres nuits, je me souviens de tout, parfaitement, tout est clair, comme si je le vivais encore, encore et encore, comme si ce soir ça recommençait... Et ça me fait mal, ça me brûle interieurement,  ça me bouffe putain... Je veux plus, je peux plus me battre contre des souvenirs encore si présents... Je fais croire, je fais semblant... Oui biensur c'est du passé, mais pour combien de temps? Une journée, une semaine au mieux... Et puis d'un coup sans prévenir tout revient, je m'en prend plein la gueule, je revois tout, je ne pleure plus maintenant, j'enrage, j'ai envie de vomir, de vomir ce que je suis...



Vous pouvez tous vous pleindre, de toute façon je m'en fou... J'ai envie d'êre égoïste, j'ai envie de vous faire mal, vous que j'aime et qui ne voyez rien... Je veux que vous compreniez vraiment le calvaire que c'est chaque jour, je veux que vous sachiez ce que vos mots me rappellent...http://pathetie.synthetique.cowblog.fr/images/Dc474.jpg
 
 

Mercredi 24 mars 2010 à 16:55

Une magnifique envie de te dire "demerde toi salope!"





Putain, mais qu'est ce que ça fait mal de voir quatre ans de sa vie partir en fumée... Quatre ans d'amitié, quatre ans à être soudée plus que les doigts d'une main... Et là, tout s'éffondre, mais le pire c'est que je m'en fou... J'ai juste ce désir constant de lui faire mal comme son amitié m'a fait mal pendant ces quatres années...
Toi la petite fille sage, qui n'osait pas tricher, qui n'a jamais rien vraiment osé, je te vois devenir cette autre que je n'aime pas, je te vois sortir en soirée tous les week ends et rentrer bourrée et fière, et tu me racontes tout le lendemain. Tu couches avec un homme et tu n'es même pas sûre de tes sentiments, tu manipules les gens inconsciemment! Ils te prennent tous pour cette fille discrète aux airs de garçon manqué, ils te prennent tous pour cette fille innocente et blanche comme neige... Mais tu les manipule tous, tes parents, les miens, tes "amis"... Tu as le malheureux don de faire exister les personnes que tu veux au moment que tu souhaites, et lorsque tu n'as plus besoin d'eux, ils redeviennent les fantômes qu'ils ont toujours été pour toi...
Mais tu sais, à manipuler le monde entier, à faire mal à ceux qui croient t'aimer, à sortir tous les week end et être complètement soûle, ce n'est pas à eux ou à moi que tu fais le plus de mal.... C'est toi que tu détruis... Tu blesses, tu es pire qu'un couteau aguisé qui rentre en plein coeur, pire qu'une balle de flingue tirée à bout portant... Pire que la peste, le colerat et toutes ces autres maladies affreuses... Tu es pire, parce que tu manipules si bien qu'on finie par t'apprecier, puis par t'aimer... Et bien sûr, ceux qui t'aiment ne te disent pas tous tes defauts, non, croyant que tu es cette fille fragile, ils se taisent de peur de te blesser, alors que bien evidemment ce n'est pas eux qui te blesseront, mais toi qui les tuera au final. Tu n'as jamais été contrariée, on ne t'a jamais rien dis, si bien qu'aujourd'hui, lorsque moi, je te dis le mal que tu me fais, la souffrance que je ressens à être à tes cotés tu ne l'entends pas. Te rends tu compte que tu me perds ou bien en as-tu rien à faire? Moi ton amie depuis quatre ans, tu me dénies, tu me renies, tu me laisses de côtés, tu me fais devenir un fantôme... Mais maintenant je m'en fou, je suis bien indifferente à tout cela. Ce qui me fait mal, c'est de voir ces autres gens se précipiter droit dans ton piège inconscient, les voir te faire confiance, sans se douter qu'après toi tu les blesseras comme tu l'as fais avec moi. Ils ne se doutent pas un instant de quelle créature tu es vraiment! Ils ignorent que ton aspect mystérieux qui appâte est redoutable, ils ignorent combien tu caches ton jeu...
Tu es en fait une véritable salope! Au premier abords, tu paraîs hypocrite, puis après on t'aprecie, parce que tu charmes et tu séduis, et au final on se rend compte que cette hypocrisie que tu transpire, que tu dégages n'est pas qu'une apparance, tu l'es réellement! Avec tes airs de petite fille prétencieuse qui regarde les autres de haut!
Véritable salope, tes gestes que j'aimais tant jadis, tes mots qui me rassuraient, ta démarche que j'appréciais, maintenant tout ce qui émane de toi me dégoute! Ton sourire bouffé par la séduction, tes gestes qui laisse apparaitre ta manipulation, tu roules du cul comme une pute, tu souris comme elle...
Et tes phrases toutes faites que tu me sors les jours où je broie du noir, ces jours où je voudrais avoir une amie, et pas une salope à mes côtés... Je ne te supporte plus, elle est triste cette réalité, celle qui me dit que je n'en peux plus de toi, que je fais une overdose, celle qui me dit qu'en fait tu t'en fous, puisque "les filles prennent une orientation différentes l'année prochaine et on se verra plus" tu le dis si bien: elles comptent les filles de la danse, je ne compte plus depuis longtemps... L'année prochaine on ne se voit plus, je tire un trait définitif sur toi, sur tous ces malheurs que tu m'as fais vivre, mais ne te tourne pas vers moi, j'aurais le plaisir de te sourire et de te dire "maintenant démerde toi!" je te rendrais ce que tu m'as donné, tout le mal que tu m'as fais! Oui je suis sadique, j'aime faire mal aux autres, surtout quand je les ai aimé, ou que je les aime encore! Toi c'est au passé, je t'ai aimé, bien plus que ma propre vie, que ma propre famille, maintenant ton nom ou ton image ne font que faire monter mon envie de vomir...
Ahhh, que c'est triste... A d'autres cette phrase minable, moi je m'en fou, je veux juste que tu ais mal, que tu touches le fond une fois dans ta vie et que tu n'ais plus personne vers qui aller, que tu te tournes vers moi et que je ne te tende pas cette main que tu attendais...

Regarde toi un instant dans une glasse, et dis moi si tu arrives à tenir plus de 10secondes sans tourner les yeux, regarde toi dans ce mirroire et dis moi combien tu t'es détruite... Tu peux me reprocher tout ce que tu veux, je serais sourde autant que tu l'es, je m'en fou de ton avis, seul celui des autres compte maintenant... Tu es un monstre sortie tout droit d'un film d'horreur, celui qui térorrise les enfants, et fait peur aux parents... Tu es celle que tu n'aurais jamais dus devenir, regarde toi et vomis tellement tu deviens laide autant d'interieur que d'exterieur! Souffre comme tu fais souffrir les autres et continu de vivre après! Vis alors que tu n'en as plus envie, vas mal, c'est tout ce que je te souhaite, que tu saches d'où je viens, que tu saches quels démons me pourchassent, reviens tout droit des enfers et gardes cette rencoeur en toi, comme je l'ai gardée si longtemps... Peut-être qu'après nous serons quitte...

Fin d'une amitié à sens unique...

Mardi 23 mars 2010 à 21:40



http://pathetie.synthetique.cowblog.fr/images/CopiedePhoto043.jpgJ'ai pas envie.

J'ai plus envie de m'ouvrir à tout le monde. Combien de fois ai-je été déçue? J'ai trop de fois laissé tomber ce masque qui me sert de carapace, et j'ai trop de fois été trahie par des personnes à qui je pensais pouvoir accorder ma confiance. Toi par exemple qui m'a laissé tomber alors que je touchais déjà le fond, ou même toi qui n'a pas trouvé mieux que de t'accrocher aux éspoires que je te donnais pour mieux me les voler et t'en servir pour avancer pendant que je continuais ma chute infinie...
Aujourd'hui j'ai peur, peur de m'ouvrir aux gens, peur de leur dire ce que je pense vraiment. Je passe pour la grande gueule qui l'ouvre à chaque occasion, mais personne ne sait combien ça fait mal d'être vu comme une personne que l'on est pas. Et la journée je ris, je souris pour rassurer ceux qui m'entourent et qui ne savent pas combien quand le soir arrive l'obscurité m'envahie, et mes démons reviennent. Ils ne savent pas combien c'est dure de sourire tous les jours alors qu'on en a plus envie, ils ne se rendent pas compte de ce que c'est que de se lever tous les matins lorsqu'on a plus aucune motivation.
Vous vous direz que je suis folle, ou bien que j'exagère... Pensez ce que vous voulez, moi jécris, j'écris pour me liberer de cette peur trop profondemment encrée pour que je puisse en parler... J'écris et pas seulement sur un fichu blog, j'écris un "livre" que j'espère publier un jour, mais ça aussi ça me fait peur, et pourtant, comme j'en ai envie... J'écris ce p****ain de livre où peut-être quelques personnes me reconnaitront dans quelques passages, et changeront alors de regard sur moi. Mais ils ignorent combien ça me fait du bien d'écrire tous ces moments que je tais, que je cache comme je peux. Ils ignorent combien j'ai peur, combien ça me coûte de montrer mes écrits à d'autres qu'à moi même...
J'ai peur du passé, qui malgré moi me rattrape et reviens me hanter, j'ai peur de l'avenir trop incertain pour que je puissene serait-ce que l'imaginer. J'ai peur des gens avec leur regard qui scrute comme si j'étais une bête de foire... J'ai peur des réactions des gens qui me découvrent, je leur inspire le dégoût, la haine parfois un peu d'amitié... Alors j'ai plus envie, plus envie de leur parler, plus envie d'exister quand ça me chante. Mais lorsque ceux que je crois aimer me passent à coté, sans même un regard, que j'entend leur rire, leur joie dont je ne fait pas partie, à chaque fois, j'ai un poignard dans le coeur qui s'enfonce un peu plus profondement. Je deviens
Fantomas, celle qui existe mais qu'on ne voit pas, celle qui devient presque imaginaire. Veulent-ils me blesser, ou juste m'ignorer? Qu'ai-je fais pour meriter cette ignorance si blessante? J'entends leurs rires qui me perforent de parts et d'autres... Je vois leurs visages tout sourire, qui percent ça et là des tranchées dans mon coeur.... Et je voudrais hurler, hurler que j'existe comme d'autres fois je m'isole et je leur en veux de venir se soucier de moi...
Et soudain, j'ai une envie de sadisme, j'ai envie qu'ils aient mal comme ils me font mal, j'ai envie de les faire souffrir, j'ai envie qu'ils tombent au plus bas, qu'ils se tournent vers moi, et à cet instant là, je les regarderais en souriant et je leur tournerais le dos...



Il y a des fois ou j'ai envie d'exister, d'autre fois où je voudrais mourir pour leur échapper... J'ai envie, puis soudain l'envie me deserte... J'ai une profonde envie de sadisme, de faire mal, de leur faire mal à eux qui me divertissent autant qu'ils me dégoutent... Ils m'inspirent ce goût amer, ils me donnent envie de gerber ce dénie... Ils me font monter la bile aux lèvres et les larmes à mes yeux...                                Je t'aime autant que je te hais!                              











Je t'aime&je te hais.

Samedi 20 mars 2010 à 18:02

J'ai peur.


J'ai peur que tu m'abandonnes, que tu partes. J'ai peur qu'au final tu sois comme les autres, entouré de belles paroles et de rêves et creux à l'interieur. J'ai peur que tu sois pas comme tu me le montres, que ce ne sois qu'un jeu pour toi.

J'ai peur qu'elle se moque de moi. J'ai peur qu'elle me balance des mots insignifiants comme elle pourrait le faire. Elle est comme le vent, j'aime cette comparaison parce que je la trouve vraie. Elle est arrivée sans prévenir et soudain elle était là. Tu ne sais pas quoi lui dire parce qu'elle à l'air frêle et qu'elle belle. Tu n'oses pas de peur de la blesser, de lui infligé des blessures trop profondes qui abimerait son visage et qui serait irremediables. Des blessures trop graves qui négligeraient sa beauté. Brune les cheveux longs, avec un visage d'ange, elle a souvent un sourire au coin des lèvres. Un sourire qui veut dire "si, si ça va bien". Mais je sais, je sais que ses yeux la trahissent, mais de peur de la blesser je me tais.  Ils disent tout ce qu'elle préfère taire, ou cacher. Et je sais qu'elle n'est pas cette fille au visage d'ange. Je sais qu'elle a envie de tout envoyer valser dans les roses, qu'elle a veut envoyer faire chier ceux qui l'emmerdent mais qu'elle n'ose pas. Elle n'ose pas et tu sais pourquoi? Parcequ'elle a tout simplement peur de decevoir, de déplaire. On a tous plus ou moins peur de ne plus rentrer dans cette norme que nous imposent médias, magazine, photo, et la mode. On a pas les seins refaient comme certaines grandes stars, notre bouche n'est pas assez pulpeuse, nos fesses sont trop grosses, ou pas assez alors on sort de la norme et on ne plait plus. Un pas de travers et tu n'es plus celle que tu étais aux yeux des autres. Tu ne ressembles pas à un pot de peinture, s'en est fini pour toi. C'est pas parce qu'elle est moins belle, c'est jusqu'elle n'est pas superficielle, alors il faut faire attention, à ses gestes, à ses mots... Mais je ne lui dis pas, je ne veux pas voir des larmes perler dans ses yeux si beaux. Je ne veux pas la blesser inconsciemment comme j'en ai si souvent peur. Je ne veux pas dire LE mot qui la ferait lacher prise, non je ne dis rien parce que je l'aime trop.
Mais ce que j'aime par dessus tout chez elle, c'est qu'avec moi, son masque tombe, son visage devient vrai, et son sourie au coin de sa bouche disparaît pour laisser place à un vrai sourire. Et j'aime te voir comme ça mon Anjou, j'aime quand tu es toi et pas cette fille qui surveille ce qu'elle fait de peur d'être ridicule...


Elle ignore combien elle m'est précieuse. Elle comprend si parfaitement tout ce que je ressens que ça en devient presque impossible à croire. Elle approuve tout ce que je fais, et me conseille lorsqu'il faut que je change quelque chose. Elle est si parfaite, si unique, mais elle n'a pas besoin d'être une autre pour me plaire et je voulais juste lui dire. Je voulais juste qu'elle le sache de peur qu'elle oublie, parce que j'ai peur de trop de choses, alors j'écris pour combattre les peurs que je peux combattre seule.
Un sourire qui en fait naître un sur mes lèvres... Une parole qui m'émeue et me fait rire... Anjou, si tu savais combien tu fais partie de cette infime partie de gens qui savent être vraiment là et donner leur amour aux autres...

http://pathetie.synthetique.cowblog.fr/images/Dc438.jpg
Chagy&Anjou, histoire d'un jour et de toujours.

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